Quelles sont les règles du football ?
Le football est bien plus qu’un simple sport. C’est une passion mondiale, une langue universelle parlée sur tous les continents. Que l’on soit joueur amateur, supporter fidèle ou simple curieux, il est essentiel de connaître les règles du football pour apprécier pleinement un match, en comprendre les actions, les décisions arbitrales et les stratégies d’équipe.
Mais quelles sont exactement ces règles qui encadrent chaque rencontre ? Que vous regardiez la Coupe du Monde, un match de Ligue 1 ou une rencontre entre amis au stade municipal, les règles du football restent globalement les mêmes. Elles définissent la durée du match, les dimensions du terrain, les fautes, les sanctions, le rôle de chaque joueur, et bien sûr, des éléments techniques comme le hors-jeu, les remises en jeu ou les conditions de victoire.
Dans cet article, nous allons explorer ces règles de manière claire, structurée et accessible, sans jargon inutile. L’objectif est de vous offrir une compréhension complète du jeu, qu’il s’agisse de l’aspect technique, tactique ou règlementaire. Vous trouverez également une synthèse en fin de lecture pour mémoriser les points essentiels.
Que vous soyez parent d’un jeune joueur, fan de ballon rond ou néophyte curieux, ce guide sur les règles du football vous apportera toutes les clés pour suivre un match avec un œil averti. C’est parti pour un tour d’horizon complet du sport le plus populaire au monde.

1. La durée d’un match de football
La durée d’un match de football suit des règles précises fixées par la FIFA. Chaque match dure 90 minutes au total. Les joueurs disputent deux mi-temps de 45 minutes. Entre les deux périodes, ils bénéficient d’une pause de 15 minutes. Ce cadre structure tous les matchs officiels, partout dans le monde.
L’arbitre peut ajouter du temps additionnel à la fin de chaque mi-temps. Ce temps compense les interruptions : blessures, changements, fautes ou perte de temps volontaire. Le quatrième arbitre indique cette durée avec un panneau lumineux. Ce temps supplémentaire varie selon les événements du match. Il assure l’équité entre les deux équipes.
En cas de match nul en phase éliminatoire, le jeu continue après les 90 minutes. Les équipes disputent alors une prolongation de deux fois 15 minutes. Cette règle s’applique dans les Coupes nationales ou les tournois internationaux. Elle donne une chance supplémentaire à chaque équipe de prendre l’avantage.
Si aucune équipe ne marque pendant la prolongation, une séance de tirs au but décide du vainqueur. Cinq tireurs de chaque équipe se succèdent face au gardien. En cas d’égalité, les tirs continuent un par un. C’est une phase intense et décisive.
Les règles du football définissent donc une durée stricte mais adaptable. Elles garantissent un déroulement clair et équitable du match. Que ce soit en amateur ou en professionnel, les joueurs respectent ce cadre temporel. Il structure les efforts, les stratégies et le rythme du jeu.
Maîtriser la durée d’un match de football permet de mieux comprendre l’intensité du sport. Cette règle simple reste essentielle pour assurer une compétition équilibrée et juste, du coup d’envoi au coup de sifflet final.
2. Les règles de base du terrain de football
Les instances officielles du football appliquent des règles strictes aux dimensions du terrain. Les organisateurs conçoivent un terrain de football rectangulaire, clairement délimité par des lignes blanches visibles. Ils définissent sa longueur entre 90 et 120 mètres et sa largeur entre 45 et 90 mètres, selon la compétition. Pour les matchs internationaux, ils imposent des normes plus précises : entre 100 et 110 mètres de long, et 64 à 75 mètres de large. Grâce à cette normalisation, ils assurent une cohérence mondiale dans la pratique du jeu.
Les équipes divisent le terrain en deux moitiés égales. Une ligne médiane les sépare, avec un cercle central de 9,15 mètres de rayon au centre. Les arbitres donnent le coup d’envoi à cet endroit au début du match, ainsi qu’après chaque but. À chaque extrémité du terrain, les constructeurs installent les buts, composés de deux poteaux verticaux espacés de 7,32 mètres et reliés par une barre transversale située à 2,44 mètres de hauteur.
Les joueurs trouvent aussi des zones cruciales : les surfaces de réparation, ou zones de but, où les arbitres accordent les penaltys en cas de faute défensive grave. Ils utilisent également la surface de but, plus réduite, pour les remises en jeu du gardien. Les lignes au sol délimitent précisément ces espaces, qui concentrent les moments les plus décisifs du match.
En respectant ces règles du football, les clubs garantissent une pratique équitable et fluide. Un terrain conforme aux normes évite les conflits, soutient les décisions arbitrales et offre aux joueurs un cadre professionnel, même dans un contexte amateur.
3. Le rôle des joueurs et leur position sur le terrain
Les règles du football définissent clairement le rôle de chaque joueur sur le terrain. Chaque poste remplit une mission spécifique. Une équipe de football aligne 11 joueurs titulaires, dont un gardien et dix joueurs de champ. L’entraîneur attribue les rôles en fonction de la stratégie choisie.
Le gardien de but reste le seul à utiliser ses mains. Il peut le faire uniquement dans sa surface de réparation. Son rôle consiste à arrêter les tirs, intercepter les centres et repousser les attaques adverses. En effet, il constitue la dernière ligne de défense. Son positionnement, sa réactivité et son anticipation influencent directement le score du match.
Les joueurs de champ, quant à eux, se répartissent en défenseurs, milieux de terrain et attaquants. Les défenseurs bloquent les assauts adverses et relancent proprement. Ainsi, ils doivent à la fois défendre et construire le jeu. Les milieux assurent la transition entre la défense et l’attaque. Ils distribuent le ballon, organisent le rythme et récupèrent les possessions. Enfin, les attaquants ont un objectif clair : marquer des buts. Ils doivent se démarquer, se projeter vite et conclure les actions.
L’entraîneur ajuste ces rôles selon le match. Par exemple, il peut renforcer la défense ou choisir un système plus offensif. Il compose alors une formation adaptée, comme le 4-3-3 ou le 3-5-2. Cependant, quelle que soit la tactique, chaque joueur doit rester discipliné et complémentaire.
En résumé, le football repose sur une coordination précise entre les postes. C’est pourquoi une équipe performe grâce à l’équilibre collectif.
Comprendre les règles du football, c’est aussi saisir l’importance de chaque rôle. Cela permet de mieux lire et apprécier le jeu.
4. Les règles du hors-jeu
Parmi les règles du football, les arbitres appliquent souvent la règle du hors-jeu, bien qu’on la comprenne mal. Pourtant, cette règle joue un rôle essentiel dans l’équilibre du jeu. Elle empêche les attaquants de profiter d’une position trop avantageuse.
Les officiels conçoivent cette règle pour protéger l’équité des actions offensives. En effet, ils veulent garantir un jeu juste, fluide et tactique. Ainsi, les attaquants doivent réfléchir à leurs déplacements. De leur côté, les défenseurs doivent garder une ligne disciplinée.
Les arbitres considèrent qu’un joueur est en position de hors-jeu s’il se trouve plus proche du but que l’avant-dernier défenseur. Cela s’applique au moment exact où un coéquipier lui passe le ballon. Le joueur évite le hors-jeu s’il reste dans sa moitié de terrain. Le gardien de but compte comme un défenseur, mais il n’est pas toujours le dernier.
L’arbitre ne siffle pas systématiquement une faute si le joueur est hors-jeu. Il ne le fait que si le joueur tire un avantage concret de sa position. Par exemple, s’il touche le ballon ou influence une action. Dans ce cas, l’arbitre interrompt immédiatement le jeu.
Cependant, certaines phases échappent à cette règle. Les joueurs ne peuvent pas être hors-jeu sur une touche, un corner, ou un coup de pied de but. Ces exceptions permettent aux équipes d’attaquer sans crainte d’être pénalisées.
Les arbitres assistants signalent le hors-jeu en levant leur drapeau. Puis, l’arbitre central valide ou non la décision. Grâce à la VAR, ils vérifient aujourd’hui les positions avec précision. Ils peuvent ainsi corriger une erreur même pour quelques centimètres.
En appliquant la règle du hors-jeu, les officiels encouragent un jeu intelligent, stratégique et loyal. Cette règle reste l’une des bases du football moderne.
5. Les fautes et sanctions dans le football
Les fautes dans le football sont des infractions aux règles de jeu qui peuvent perturber le bon déroulement d’un match. Elles sont sanctionnées par l’arbitre, qui a pour mission de garantir la sécurité des joueurs et l’équité des actions. Comprendre ces règles du football permet de mieux suivre les décisions arbitrales et les interruptions de jeu.
Une faute peut être commise de différentes manières : contact physique excessif, obstruction, charge irrégulière, ou geste volontairement dangereux. Le tacle par-derrière, par exemple, est strictement interdit car il met en danger l’intégrité physique du joueur adverse. De même, tirer un maillot, faire une faute de main intentionnelle ou insulter un adversaire sont des comportements qui enfreignent les règles.
Lorsqu’une faute est commise, l’arbitre peut accorder un coup franc, un penalty si la faute a lieu dans la surface de réparation, ou tout simplement un avantage si l’équipe victime conserve une action favorable. L’objectif est de ne pas pénaliser l’équipe qui subit une faute si elle peut poursuivre une attaque intéressante. Cette notion d’avantage donne de la fluidité au jeu.
En fonction de la gravité de la faute, des sanctions disciplinaires peuvent être prononcées. L’avertissement, symbolisé par un carton jaune, sert à signaler un comportement antisportif ou dangereux. En cas de récidive ou de faute grave, le joueur peut recevoir un carton rouge, synonyme d’expulsion immédiate. Son équipe devra alors terminer le match à dix contre onze, ce qui change totalement la physionomie du jeu.
Les sanctions dans le football ont donc pour but de protéger les joueurs et d’encourager un jeu loyal. Elles font partie intégrante des règles du football et sont essentielles à la compréhension du sport, que l’on soit joueur, entraîneur ou simple spectateur.
6. Les remises en jeu (touches, corners, coups francs)
Les arbitres utilisent les remises en jeu pour relancer le match après chaque arrêt. Le règlement du football définit précisément quelle équipe reprend le ballon et dans quelles conditions. Ces remises assurent la continuité du jeu tout en garantissant l’équité entre les équipes.
Les joueurs effectuent le plus souvent une touche, lorsque le ballon franchit entièrement les lignes latérales. Dans ce cas, l’équipe qui n’a pas touché le ballon en dernier bénéficie de la remise en jeu. Pour que la touche soit valide, le joueur lance le ballon avec les deux mains, par-dessus la tête, tout en gardant les deux pieds au sol, sur ou derrière la ligne. S’il ne respecte pas ces consignes, l’équipe adverse récupère immédiatement le ballon.
Les arbitres accordent un corner — ou coup de pied de coin — lorsqu’un défenseur envoie le ballon derrière sa propre ligne de but. L’équipe attaquante tire alors le ballon depuis l’un des arcs de cercle situés aux coins du terrain. Ces situations offrent souvent des occasions de but, car elles permettent de centrer directement dans la surface.
En cas de faute, l’arbitre siffle un coup franc. Il peut être direct ou indirect selon la gravité ou le type d’infraction. Lors d’un coup franc direct, le tireur peut viser le but immédiatement. Pour un coup franc indirect, un autre joueur doit toucher le ballon avant de marquer. Dans les deux cas, les défenseurs doivent se placer à au moins 9,15 mètres du ballon.
Les équipes utilisent ces différentes remises en jeu comme de véritables leviers tactiques. Elles rythment chaque match et créent de nombreuses opportunités offensives. En maîtrisant ces règles du football, les joueurs optimisent leur efficacité à chaque phase de jeu.
7. Le système de points et les résultats des matchs
Le système de points dans le football permet de classer les équipes dans une compétition, notamment en championnat. Il fait partie intégrante des règles du football et influence les stratégies adoptées par les clubs tout au long de la saison. Ce système, simple en apparence, a pourtant une influence déterminante sur le comportement des équipes sur le terrain.
Dans la majorité des compétitions officielles, une victoire rapporte 3 points, un match nul donne 1 point à chaque équipe, et une défaite ne rapporte aucun point. Cette répartition encourage les formations à jouer pour gagner plutôt que se contenter d’un match nul, ce qui rend le jeu plus offensif et dynamique. À l’issue de chaque rencontre, les résultats sont comptabilisés pour mettre à jour le classement général.
Lorsqu’un championnat se termine, c’est l’équipe qui a cumulé le plus de points qui est sacrée championne. En cas d’égalité de points, plusieurs critères peuvent départager les équipes : la différence de buts (buts marqués moins buts encaissés), le nombre total de buts inscrits, voire le résultat des confrontations directes. Ces critères sont également définis par les instances organisatrices de chaque compétition (LFP, UEFA, FIFA…).
Dans les phases de poules de certaines compétitions internationales, comme la Coupe du Monde ou la Ligue des Champions, ce système de points est également utilisé pour désigner les équipes qui passeront au tour suivant. Là encore, les règles du football prévoient des procédures en cas d’égalité : tirage au sort, classement du fair-play, voire barrage.
Le résultat d’un match de football ne se limite donc pas au score immédiat. Il s’inscrit dans une logique plus large, influençant tout un classement ou un tableau. Bien comprendre ce système permet d’analyser les enjeux d’un match et les décisions tactiques prises par les entraîneurs.

8. Le rôle de l’arbitre et des arbitres assistants
Au cœur des règles du football, l’arbitre joue un rôle central. C’est lui qui fait respecter le règlement sur le terrain, prend les décisions importantes et veille à la sécurité de tous les participants. Sans son intervention, aucun match ne pourrait se dérouler dans de bonnes conditions. Son autorité est absolue pendant toute la durée de la rencontre, depuis le coup d’envoi jusqu’au coup de sifflet final.
L’arbitre principal a plusieurs missions : il surveille les fautes, accorde les coups francs, valide les buts, distribue les cartons et gère les temps de jeu (comme les prolongations ou le temps additionnel). Il possède un sifflet pour arrêter le jeu lorsqu’une règle est enfreinte. Il doit aussi rester impartial, concentré, et capable de prendre des décisions parfois très complexes en une fraction de seconde.
Il est épaulé par deux arbitres assistants, placés de chaque côté du terrain, le long des lignes de touche. Munis d’un drapeau, ces arbitres signalent les hors-jeux, les sorties de balle et peuvent indiquer les fautes qu’ils ont observées dans leur zone. Le quatrième arbitre, souvent moins visible, gère les remplacements, affiche les temps additionnels et sert d’interface entre les bancs de touche et l’arbitre central.
Dans le football moderne, la technologie a renforcé le rôle des arbitres grâce à l’introduction de la VAR (assistance vidéo à l’arbitrage). Utilisée pour vérifier les buts, les penalties, les cartons rouges directs et les erreurs d’identité, la VAR aide à garantir la justesse des décisions dans les moments les plus critiques du match. Cependant, c’est toujours l’arbitre central qui prend la décision finale, même après consultation vidéo.
L’arbitrage dans le football exige donc rigueur, sang-froid et connaissance parfaite du règlement. Sans l’intervention de ces officiels, les règles du football ne pourraient pas être appliquées de manière équitable et cohérente, et le jeu perdrait en crédibilité.
9. Les règles spécifiques aux compétitions internationales
Les compétitions internationales de football, comme la Coupe du Monde, l’Euro ou la Coupe d’Afrique des Nations, suivent les règles du football définies par la FIFA ou les confédérations continentales. Toutefois, elles comportent aussi certaines spécificités réglementaires, notamment en ce qui concerne la durée des phases à élimination directe, les qualifications et les effectifs des équipes.
Dans les matchs à élimination directe, par exemple, une prolongation est prévue si les deux équipes sont à égalité à la fin du temps réglementaire. Cette prolongation dure deux fois 15 minutes, avec éventuellement une pause très courte entre les deux périodes. Si l’égalité persiste, une séance de tirs au but départage les équipes. Cette règle évite les replays (matchs rejoués), comme cela se faisait auparavant dans certaines compétitions.
Autre particularité : la gestion des remplacements. Alors qu’en championnat, une équipe peut faire jusqu’à 5 changements (répartis sur 3 arrêts de jeu maximum), en compétition internationale, une sixième substitution est parfois autorisée en prolongation. Cela permet aux équipes d’adapter leur stratégie face à la fatigue ou aux blessures dans des matchs souvent très disputés.
La gestion des cartons jaunes est aussi différente. Dans certaines compétitions, deux avertissements reçus sur deux matchs différents peuvent entraîner une suspension automatique pour le match suivant. Cette règle vise à maintenir un comportement exemplaire des joueurs tout au long du tournoi. Toutefois, les cartons peuvent être annulés après les quarts de finale pour éviter qu’un joueur soit suspendu pour la finale à cause d’un avertissement mineur.
Enfin, les effectifs des équipes peuvent être élargis : 23 joueurs en général, parfois 26 en période exceptionnelle comme lors de la pandémie de COVID-19. Cela permet une plus grande souplesse dans la gestion de l’équipe pendant la compétition.
Ces règles spécifiques aux tournois internationaux s’inscrivent dans la logique d’un football exigeant, où chaque détail compte. Elles garantissent l’équité, le spectacle et la sécurité dans des contextes de haute intensité où l’enjeu est mondial.
Liste récapitulative des principales règles du football
Pour conclure cet article et offrir une vue synthétique, voici une liste récapitulative des principales règles du football. Ces points essentiels permettent de mieux comprendre la structure du jeu, que ce soit pour les joueurs, les entraîneurs ou les spectateurs.
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Durée du match : 90 minutes réparties en deux mi-temps de 45 minutes, avec un temps additionnel possible.
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Dimensions du terrain : terrain rectangulaire, de 90 à 120 m de long sur 45 à 90 m de large (normes internationales plus strictes).
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Nombre de joueurs : 11 joueurs par équipe sur le terrain, dont un gardien de but.
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Objectif du jeu : marquer des buts en envoyant le ballon dans le but adverse sans enfreindre les règles.
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Hors-jeu : un joueur est hors-jeu s’il est en position avancée au moment d’une passe, sans respecter la présence de deux défenseurs entre lui et le but.
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Fautes : tout contact jugé dangereux, toute main volontaire ou tout comportement antisportif peut entraîner un coup franc, un penalty ou un carton.
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Sanctions : carton jaune (avertissement), carton rouge (expulsion), avec impact sur le déroulement du match.
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Remises en jeu : touche (sortie par les côtés), corner (dégagement d’un défenseur au-delà de la ligne de but), coup franc (faute commise).
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Arbitrage : dirigé par un arbitre central, deux assistants, un quatrième arbitre, et, dans les grandes compétitions, la VAR.
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Système de points : 3 points pour une victoire, 1 pour un nul, 0 pour une défaite en phase de groupe ; prolongations et tirs au but en phase finale.
Ces règles du football constituent l’ossature du jeu tel qu’on le pratique dans le monde entier. Elles peuvent sembler nombreuses, mais une fois assimilées, elles deviennent naturelles et renforcent le plaisir de suivre ou de jouer un match.
